La famille a le regret de vous annoncer le décès de
M. Normand Rousseau
décédé le 25 décembre 2020, à l’âge de 81 ans. Il était l’époux de Pauline Chabot et le fils de feu Lauréat Rousseau et de feu Adrienne Poiré. Outre son épouse, il laisse dans le deuil sa fille unique Geneviève (Marc Charron); ses petits-enfants : Alexandre, Gabrielle et Éliane ainsi que plusieurs beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, cousin(e)s, parents et ami(e)s. Il fut prédécédé par sa soeur Denise.
Il y aura une célébration dans l'intimité familiale.
La famille désire remercier le personnel de l'Hôpital de Hull pour les bons soins prodigués.
Vos messages de condoléances peuvent être envoyés à : www.cfo.coop
Messages de sympathie
Je tiens d'abord à offrir mes condoléances - tardives mais sincères - à la toute la famille de monsieur Rousseau et particulièrement à son épouse et à sa fille.
Cher, cher, cher monsieur Rousseau, mon professeur de secondaire IV de Formation humaine et chrétienne (1974-1975). Malgré votre demande des dernières années de vous tutoyer et de vous appeler Normand, vous resterez toujours monsieur Rousseau, mon professeur. Vous nous avez raconté votre séjour au Maroc, nous avez expliqué les rites et fondements des différentes religions. Même si je me dirigeais lentement vers l'athéisme, je recevais cet enseignement avec bonheur et attention. Je voulais comprendre et vous m'avez aidée à le faire.
J'ai aussi lu votre roman La tourbière écrit d'une manière si unique. Cette lecture m'a bouleversée et ravie à la fois. Je conserve précieusement ma copie dédicacée. J'avais appris ce passage par cœur :
"je m'enlise dans mon inconscient... je me repose sur mon surmoi... mes jours tombent comme des fruits trop mûrs... j'use mes dents à mordre la vie qui me manque... mes rêves partent à la dérive...
il n'y a plus de saison pour moi... j'ai caché l'hiver sous un tas de feuilles mortes... et le printemps sous un banc de neige..."
Ce que vous écriviez bien, monsieur Rousseau. On en aurait pris tellement plus.
Un arbre est planté à la mémoire du défunt
- Lyne Jubinville, le
27 juin 2021
C’est avec une grande tristesse que j’apprends, beaucoup trop tard, le décès de Normand Rousseau. Suite à la publication de son livre « La Bible immorale » je l’avais contacté pour discuter du sujet, étant un athée convaincu. Pendant dix longues années, avec beaucoup de générosité et de patience, nous nous sommes rencontrés de nombreuses fois pour discuter, lui de l’immoralité des religions, et moi de leur crédibilité douteuse. Nous abordions deux facettes du même sujet. Nous n’étions pas toujours d’accord, mais j’aimais l’homme, je le respectais et j’avais une grande amitié pour lui. Je le considérais comme un père spirituel. Puis un jour, un différend nous éloigna, mais je gardai pour lui une tendre affection. Dommage que je n’ai pas pu lui parler peu de temps avant son décès. Je lui aurais répété qu’il était précieux pour moi. À toute la famille, je partage votre peine, je le pleure autant que vous et sachez qu’il sera toujours présent dans ma tête et mon cœur. Avec toutes mes condoléances,
- Richard Rousseau, le
14 juin 2021
C'est avec une immense tristesse que nous avons appris très tard le décès de Normand dont la contribution au mouvement des humanistes est considérable et ne sera pas oubliée. Ses écrits sont maintenant cités dans de nombreux ouvrages concernant les prétentions morales des religions. L'importance de ses livres ne doit pas être sous-estimée et l'Assocation humaniste du Québec espère que la famille entrera en contact avec elle pour assurer la pérennité de cet héritage exceptionnel. Michel Virard, Président, Association humaniste du Québec.
- Michel Virard, le
14 juin 2021
Je garde de Normand le souvenir d'un grand professionnel et d'un grand amoureux de la langue française. C'était aussi un robuste joueur de tennis!
Mes plus sincères condoléances à la famille.
- René Désilets, le
7 janvier 2021
J'offre mes plus sincères sympathies à Mme Pauline pour le départ de Normand. Je fus très surpris d'apprendre son départ. J'ai connu Normand parce que j'ai fait plusieurs petits travaux pour lui les dernières années qu'il avait sa maison. Je me suis toujours bien entendu avec lui et j'ai vu en lui une personne honnête et un agréable interlocuteurs. J'ai beaucoup aimé le temps ou j'ai été en sa compagnie. J'offre aussi mes sympathies à sa fille.,., Je conserverai son numéro de téléphone sur ma liste; c'est pour moi une façon de me souvenir et d'avoir une pensée pour quelqu'un que j'ai beaucoup admiré.
- Claude Patry, le
4 janvier 2021
Quel choc ce samedi matin de voir ce triste avis de décès sans le journal Le Droit. Normand restera pour moi un mentor, mais surtout un grand ami. Souverainiste, moi fédéraliste, Québécois, moi Franco-Ontarien, on avait tout pour être des adversaires, et pourtant...c'était un frère. Je suis pleinement d'accord avec Mme Amyot, car oui, il écrivait bien. Très bien. Ses livres étaient le résultat de recherches intensives et, en ce qui me concerne, m'ont fait mieux comprendre la fragilité de l'être humain.
Nos déjeuners, non assez fréquents, me manqueront terriblement.
À toi, Pauline, fidèle compagne, bon courage, n'hésite pas de me téléphoner si jamais je
peux te rendre service. Mes plus sincères condoléances à Geneviève que je n'ai pas eu le plaisir de connaître ainsi que son mari et enfants.
Jacques
- Jacques Dufault, le
2 janvier 2021
Je suis triste d'apprendre le décès de Normand. J'ai eu le privilège de lire ses livres, il écrivait très bien. Normand, je l'ai connu au Ministère d'Agriculture Canada, il aimait prendre sa marche à tous les jours. Un homme très bon et humble. Des années que je ne l'ai pas revu. Je vous souhaite mes sympathies, c'est une grande perte.
- johanne amyot, le
2 janvier 2021
Mes sincères condoléances pour la perte de votre père. A chaque année j'allais installer des lumières de Noel sur son perron afin d'égayer son quotidien durant le Temps des Fêtes. Il aimait bien cela. Je suis bien triste de son départ soudain.
Que mon soutien réchauffe votre coeur
- Marthe Gratton voisine du 463 rue de Cannes , le
29 décembre 2020
Au nom du conseil d'administration et de tous les résidants du 463 rue de Cannes, nos plus sincères condoléances à Mme Pauline Chabot, ses enfants et tous les autres membres de la famille.
- Gilbert Jacques pour le C.A., le
29 décembre 2020